Les chevaliers à chevaux blancs ont disparu depuis longtemps… Mais il y a des employés de la Gendarmerie canadienne. Des bons gars sur de beaux chevaux. Vous pouvez en apprendre davantage sur cette structure au Centre du patrimoine de la Gendarmerie royale du Canada.
En général, tous les services de police fédéraux et nationaux au Canada depuis 1920 sont appelés Gendarmerie royale du Canada. Tout sur l’application des lois canadiennes se trouve dans le musée éponyme, créé à Régine en 2005. Bien qu’ils auraient pu ouvrir soixante-dix ans plus tôt. La collection a commencé à être rassemblée dès 1933, ou même plus tôt.
Il a tout ce que vous devez savoir sur la police équestre au Canada : uniforme de différentes années, insignes de police, voitures de société. Mais soyez prudent avec cela… il vaut mieux simplement regarder une arme à feu. Le musée présente également une collection de lettres, photographies, documents d’archives. La collection entière de trente mille pièces vous impressionnera certainement ! Les yeux se lèvent et vous voulez vous mémoriser tout ! Les expositions du musée parlent de la vie et du travail des policiers canadiens de la fin du XIXe siècle à nos jours.
Voici les fusils qui ont été utilisés en 1874, l’équipement de police du dernier traîneau à chiens de patrouille. Le musée compte sept expositions majeures, ainsi que des expositions thématiques et changeantes.
Visiter ce musée, c’est comme accéder à un secret. Après tout, les policiers sont quelque chose de formidable et mystérieux, des défenseurs et des combattants contre le crime. Il est intéressant de voir comment et comment vivaient les policiers à cette époque, et comment ils protégeaient la paix des citoyens. Le musée dit que dans le passé, la police au Canada n’a pas seulement protégé les citoyens contre le crime, mais aussi livré le courrier, éteint les incendies et aidé les propriétaires fonciers.
Il est intéressant d’examiner non seulement les expositions du musée, mais aussi le musée lui-même. Le bâtiment asymétrique a été construit par l’architecte Arthur Erickson. Le toit du musée ressemble à une voile ou un tremplin.