La petite ville pittoresque des Andelys, située sur les rives de la pittoresque Seine, semble être issue des peintures de grands artistes français. L'incroyable atmosphère de la France antique règne ici. Des maisons colorées s'élèvent dans les rues étroites et sinueuses, sur les vérandas des cafés confortables, les habitants savourent tranquillement un café le matin et un verre de vin le soir. Ici, vous avez envie de vous arrêter, de respirer les arômes de fleurs que la bouquetière apporte, de souhaiter une bonne journée à un étranger et de vous promener le long de la côte ou de faire une promenade fluviale le long de la Seine.
La principale chose que les voyageurs doivent faire dans cette ville est de profiter du lever du soleil, de rencontrer le coucher du soleil, de toucher les murs de l'ancienne forteresse qui domine la ville et de visiter le musée Nicolas-Poussin. Il semble parfois qu'aux Andelys tout soit perçu différemment, même admirer les peintures des artistes est plus agréable ici que dans les musées célèbres. Vous ressentez une connexion subtile, tout d'abord, avec l'artiste à travers ses peintures, qu'il a peintes il y a de nombreuses années.
Nommé d'après le grand peintre français Nicolas Poussin, qui vivait et travaillait aux Andelys au XVIIe siècle, le musée est un véritable trésor pour tous les passionnés d'histoire de France et les connaisseurs de l'art de peindre. À travers de petites expositions thématiques, vous pourrez découvrir l'histoire des Andelys de la préhistoire à nos jours. Tous les objets exposés du musée sont divisés en quelques expositions consacrées à l'archéologie, l'histoire, la religion et, bien sûr, l'art de la peinture.
Vous pouvez voir ici des trouvailles précieuses d'archéologues de l'ère préhistorique et de la période gallo-romaine en Normandie. La collection d'art sacré est représentée par de rares œuvres sculpturales du Moyen Âge, des objets ayant appartenu aux ordres des filles et des sœurs de la miséricorde, des instruments de musique anciens et des vêtements luxueux des ministres de l'église des XVIIe-XVIIIe siècles. Une exposition à part est consacrée au fondateur de l'hospice Saint-Jacques des Andelys, duc Louis-Jean-Marie de Bourbon. La place centrale du musée est occupée par une collection de peintures des maîtres de l'école de peinture de Rouen, dirigée par les œuvres de Nicolas Poussin.