La première image qui arrive à l’esprit quand on cherche à découvrir la culture et la couleur locale de la Turquie et pas ses plages, c’est le baklava, le rahat-loukoum, les messieurs âgés avec le fez sur la tête, le son d’une prière et, sans doute, les mosquées.
Adana est une des villes turques non touristiques, mais très riches en couleurs. D’abord, elle prête à confusion avec sa modernité superflue, ses bâtiments en verre et en béton, ses sculptures contemporaines. Mais si l’on va au fond de la ville, elle charme par la couleur terre cuite des maisons, l’arôme du baklava frais et la voix sortant des écouteurs qui appelle à la messe.
30 000 personnes se rendent dans la mosquée centrale d’Adana Sabanci (Sabancı Merkez). C’est la plus grande mosquée de la Turquie. Si l’on monte sur un bâtiment assez haut dans n’importe quel quartier de la ville, on verra les minarets de cette mosquée. Construite dans le style classique ottoman, aujourd’hui, cette mosquée est le cœur et le symbole d’Adana. La mosquée a été.
La mosquée centrale Sabanci est vraiment superbe, on ne sait pas de quel angle la regarder. Elle est vraiment une des plus hautes mosquées de la Turquie. Ses deux minarets s’élèvent à 99 mètres de haut, les deux autres à 75 mètres et la coupole atteint 54 mètres. Les murs sont recouverts des écritures, à l’intérieur et à l’extérieur, de beaux échantillons calligraphiques sont partout. L’entrée de la mosquée est faite en marbre blanc.
La mosquée est magnifique. Admirez-la à l’extérieur et avant de rentrer couvrez vos jambes.
Les constructeurs de la mosquée ont très bien choisi l’endroit au croisement des autoroutes, c’est facile d’y accéder. D’un côté de la mosquée centrale Sabanci, il y a un fleuve, et de l’autre, une pelouse verte avec des fontaines. Le cadre pareil crée une ambiance paisible et calme pour la prière malgré le bruit des voitures.
On se promène volontiers dans le parc à côté de la mosquée centrale Sabanci et on admire son architecture.